Jean-Luc bruyas

Jean-Luc Bruyas : écrivain, comédien, chanteur

Jean-Luc Bruyas a publié aux Editions de l’Eau – Albert Woda, « Lienne la muette », « Chants pour Titine ».

Chez Rafaël De Surtis : « Pour un cheveu d’ange », « Le point de non retour » ( dans « Une anthologie de l’imaginaire du 20ème siécle »).

Il s ‘exprime dans une forme courte, sujette aux incandescences et aux fulgurances, qui l’emporte parfois aux abords du poème en prose.

Chez Gros Textes : « La percée », « L’homme de vin »,

 « L’apprenti voyageur », « Le voyageur intermittent », « Le voyage de Gaetano Batticuore ».  Cette trilogie le placerait dans la fratrie des écrivain-voyageurs.

Compagnon du théâtre il se forme aux écoles de JC Penchennat, A Mnouchkine, A Boal, Le Roy Hart,

a interprété Jean Genêt, Hélène Cixous, Heïner Müller, Guy De Maupassant… et des spectacles pour un comédien et des marionnettes destinés à la première enfance.

Il a écrit et mis en scène : « Quichotte », une épopée de chambre ( avec la compagnie Cartoun Sardines Théâtre), « Conte fou » « Nuit de bivouac au Palais Royal »  Nous, Jacques, vilains de 89 ») ( avec le Théâtre de l’Eclat de bois).

Il a animé des ateliers de pratique théâtrale avec des étudiants en arts plastiques de la Villa Thiole ( autour du « Radeau de la Méduse »)

avec des lycéens littéraires ( autour de « Thérèse Raquin »)

avec des élèves du primaire (autour de JMG Le Cézio).

Avec sa propre compagnie,  le  Théâtre d’Urgence : « Chants pour Titine » (Conte musical accompagnée du guitariste Serge Pesce), « La maison de Joseph », « Nouveaux chants pour Titine », « Vivant ! » (mis en musique par la guitare accommodée du même compositeur).

Son goût pour la chanson remonte aussi loin que possible dans l’enfance. La voix humaine et la musique avec qui l’âme se met très tôt à chanter.

Pour l’album « Le Bal Poussière » il s’entoure d’une fine fleur de musiciens (Jean-Luc Danna aux percussions, Marc Peillon à la contrebasse, Eric Sempé aux guitares) quêteurs  de swing et grands praticiens de l’improvisation qui emportent le chant vers un ailleurs inattendu. La qualité acoustique très vivante ( à l’opposé du lissage de toutes formes de grain) repose entre les mains et les oreilles de Lucien Massucco ingénieur (génie ?) du son.

Parmi ces chansons il y en aura peut-être une qui sera fredonnée quelque part par quelqu’un(e!) qui en ignore l’auteur et n’en goûte que le charme.

Retrouvez le dans LE BAL POUSSIÈRE